La mélancolie des jours sombres

La période entre  « black friday » et « blue monday »

Nous sommes presque à la fin du mois de novembre, en plein automne, avec de la pluie, du vent et de courtes journées sans soleil. Triste, nostalgique, nous nous remémorons des temps meilleurs.

 

Corona

Jusqu’en février 2020, le mot « corona » me faisait penser aux feux de jour des nouvelles voitures. Il s’agit presque toujours d’une lumière LED, souvent dans des formes créatives sur les bords de l’unité de phare. Pour d’autres, le mot « corona » désignait plutôt une sorte de bière ou une compagnie d’assurance, mais certainement pas la pathologie que nous avons apprise par la suite.

Tous nos souvenirs de 2020 seront définitivement liés à cette ère du « corona ». Fermeture de l’industrie hôtelière, comportement de thésaurisation dès l’annonce d’un éventuel lockdown, mesures très strictes lors du premier lockdown en mars et avril, fermeture des frontières en Europe, fermeture des écoles, couvre-feu, fermeture des magasins non essentiels lors du deuxième lockdown, etc… ….

Incroyable, je n’aurais jamais pensé que cela puisse nous arriver.

La mélancolie

Journées maussades, faible luminosité et températures froides : du « vendredi noir » au « lundi bleu » (troisième lundi de janvier). Du « vendredi noir » au « lundi bleu » (troisième lundi de janvier), de nombreuses personnes souffrent de dépression saisonnière pendant les mois d’hiver. Pendant les mois d’hiver, de nombreuses personnes souffrent de dépression saisonnière, ce qui peut conduire à des sentiments mélancoliques et même à la dépression. Décembre n’est pas seulement « le mois sombre », mais aussi le dernier mois de l’année. La fin de l’année. La mélancolie consiste à regarder avec tristesse le passé ou un désir inassouvi.

 

J’ai lu le livre « Melancholie van de onrust »,  de Joke J. Hermsen, disponible chez BOL , clicez ici 

Dans cet essai, Joke J. Hermsen explore, avec des penseurs tels que Hannah Arendt, Ernst Bloch et Lou Andreas-Salomé, le moment où l’homme possède encore assez de pouvoir, d’esprit de décision et d’espoir pour dépasser la perte et rechercher une nouvelle relation au monde et à lui-même.

Un essai clair et bien écrit, publié en 2017, mais certainement très intéressant à notre époque, où le corona lockdown contribue encore plus à la mélancolie négative. Nous avons besoin de liens sociaux et d’activités culturelles, mais nous ne pouvons plus entretenir nos contacts sociaux que de manière numérique.

 

La lumière au bout du tunnel.

Peu à peu, l’espoir d’un retour à la normale se fait jour. Le virus finira par être vaincu, même si cela prendra du temps.

 

Une petite aide très simple pour bénéficier d’un peu plus de lumière pendant ces sombres journées d’hiver : c’est d’autant plus possible maintenant que nous travaillons beaucoup à la maison.

• La luminothérapie
  La lampe TL45 de Beurer simule la lumière du jour avec une intensité lumineuse d’environ 10 000 lux.
  Comme la lampe Beurer TL45 est réglable en 3 intensités/couleurs, vous pouvez l’utiliser à différents moments de la journée. Le matin (6 5000 K) pour se réveiller et lutter contre les symptômes de la privation de lumière. Pendant la journée (5 000 K) pour travailler avec concentration et le soir (3 000 K) pour se détendre.

• Appareil adapté pour : Vigilance, lutte contre le blues hivernal, stimulation de l’énergie, amélioration de l’humeur, lutte contre la fatigue, sensation de repos.

 

Une deuxième aide est une jolie fleur ou plante d’intérieur dans votre salon ou votre bureau à domicile, qui égaie votre intérieur et vous donne des idées plus positives.

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